La Semaine contre l’intimidation et la violence à l’école tire à sa fin alors que l’ensemble des acteurs du réseau de l’éducation s’est allié et a déployé différentes activités dans le milieu scolaire. Tous s’entendront pour affirmer que chaque cas de violence ou d’intimidation en est un de trop.
J’aimerais que nous restions dans l’état d’esprit que cette Semaine a entraîné dans nos écoles puisque nous ne le répèterons jamais assez : la prévention de l’intimidation et de la violence à l’école passe nécessairement par la sensibilisation et l’éducation. C’est en ce sens que la Semaine contre l’intimidation et la violence à l’école doit être prolongée tout au long de l’année.
Les directions d’établissement que je représente, en collaboration avec l’ensemble de leurs équipes-écoles, s’engagent à faire de nos écoles des environnements sains et sécuritaires. Pour ce faire, et au risque de me répéter, encore et encore, nous devons avoir les ressources et la latitude nécessaires pour mettre en place toutes les mesures appropriées dans chacune de nos écoles, selon les réalités qui nous sont propres. L’équipe-école, entourée des parents et de la communauté, est la mieux placée pour connaître les besoins des jeunes en matière d’éducation et de sensibilisation à la violence et à l’intimidation.
Donnons aux écoles les moyens de ses ambitions. C’est de notre jeunesse dont il est question et de l’avenir du Québec.
Présidente, FQDE